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Titre du blog : Doctor Who France
Auteur : doctorwho
Date de création : 29-03-2010
 
posté le 06-02-2011 à 22:48:19

Concours Fanfiction : L'Aventure d'Emeline by LouveNoire

Et encore une autre fanfiction pour le concours^^ Enjoy ! 

Cette histoire est signée LouveNoire, et l'idée de mettre en scène cet aspect de la série est un plaisir^^

Bonne lecture ! 

 

L'Aventure d'Emeline 

 


 

 

L'histoire se passe plusieurs années après la fin de la saison 4

 

 

Une jeune femme se prénommant Émeline se promenait dans les ruelles d'une ville, elle stoppa net quand elle aperçue une boîte de police bleue. N’en croyant pas ses yeux. Elle les ferma pensant rêver et les rouvrit, mais la boite était toujours là. Curieuse elle s'approcha, tournant autour. Elle tendit sa main tremblante et toucha du bout des doigts le bois peint en bleu de peur que ce simple contact fasse disparaître la cabine. Voyant qu'elle ne disparaissait pas elle posa sa main à plat dessus en fermant les yeux. S’imaginant voguer à travers le temps et l'espace en compagnie du Docteur, comme l'avait jadis fait sa propre mère.

Un bruit de toux la fit sursauter, lentement elle se retournavers la personne qui avait émis cette toux et vit un homme qui était le portrait craché de son propre père. Mais elle savait que ce n'était pas lui car l'homme qui se tenait devant elle était beaucoup plus jeune.

N’osant plus bouger, elle fixa l'homme. Il lui sourit, sortant de sa transe Émeline lui sourit timidement a son tour.

Elle s'excusa et commençait à partir quand le Docteur lui demanda comment elle s’appelait, Émeline hésita et répondit :

    - Émeline....Émeline Smith

Le Docteur répéta pour lui même

    - Smith .....

Et il poursuivit :

    - J'ai connus beaucoup de Smith, moi même j'utilise parfois ce nom....mais bon c'est une autre histoire, enchanté

      Mademoiselle Smith. Je suis le Docteur !

 

Il lui sourit et lui tendit la main, Émeline regarda la main du Docteur puis tendit la sienne, le sourire aux lèvres.

   - Enchanté Docteur.

Tout en serrant la main de la jeune fille le Docteur l'observa, c’était une jeune londonienne d'une vingtaine d'années, avec de long cheveux brun-roux et un quelque chose qui le troublait, comme s'il avait un lien avec la jeune fille.

Émeline tout en serrant la main du Docteur, le vit la détailler, se pouvait-il qu'il sache......

Le Docteur repris la parole :

   - Mademoiselle Smith, j’ai vu comment vous admiriez cette cabine de police, si je vous disais que ce n'est pas une

     simple cabine de police, mais mon vaisseaux spatial, me croiriez-vous ?

 

Émeline eue le rouge au joues après avoir entendu que le Docteur l'avais vu toucher la cabine :

   - Oui, je....je sais que ce n'est pas une simple cabine de police, sinon que ferait-elle là, cela n'existe plus de nos

     jours. Elle aurait plus sa place dans un musée, je pense.

 

Le Docteur, lui sourit:

   - J'aime votre réponse mademoiselle Smith, c’est pourquoi, je vous invite à visitez mon vaisseaux.

Le Docteur s'approcha de la porte et l'ouvrit d'un claquement de doigt.

Emeline émerveillée, regarda la vaste pièce qui se trouvait au-delà de la porte, et rentra d'un pas hésitant.

C'est magnifique pensa-t-elle, « tout comme je me l'étais imaginé ».

Le Docteur observa Émeline pensant qu'elle allait dire comme beaucoup de ceux qui avait visité son Tardis "c'est plus grand à l'intérieur qu’à l'extérieur " et allait faire le tour de la cabine pour vérifier.

Mais à son grand étonnement, elle ne le fit pas.

Les yeux brillants, Émeline parcourut le Tardis, en s'émerveillant, effleurant par-ci, par-là des objets que contenait le Tardis, quand elle fut dans la somptueuse penderie, elle s'arrêta devant une magnifique robe. Qu’elle sortit du portant, l'admirant devant le miroir.

Le Docteur, qui était derrière elle, la regardait s'émerveiller, s'arrêter devant certains objets, les effleurer, n’osant pas les toucher. Puis dans la penderie elle s'arrêta devant cette robe, pas une autre, et la prit, pour l'admirer.

Comme si elle savait exactement celle qu'elle voulait voir, ce qui intrigua quelque peu le Docteur. Toujours devant le miroir, Émeline se contemplait, s’imaginant portant cette robe comme l'avais jadis fait sa mère. Le Docteur voulant ôter ce doute qui le dérangeais depuis quelques minutes demanda:

   - Mademoiselle Smith, puis-je vous poser une question ?

   - Oui, bien sûr, répondit-elle en se tournant vers lui la robe toujours à la main, à condition que vous m'appeliez

     Émeline

Le Docteur, acquiesça et reprit:

   - Je sais que ma question va vous paraître étrange, mais comment s'appelaient vos parents ?

Émeline, répondit tout naturellement:

   - Mon père se nomme John et ma mère Rose.

Le Docteur surpris et les larmes aux yeux :

   - Vous êtes la fille de Rose Tyler ?

Émeline hocha la tête.

 

Les deux cœurs du Docteur s'emballèrent, il avait devant lui la fille de sa Rose et de son clone… il dit tout haut :

   - Mais c'est impossible, Rose et John se trouvent dans un monde parallèle.

Émeline lui dit:

   - J'ai un appareil qui me permet de passer d'une dimension à une autre, mon petit frère Jack a eu le même à sa

     naissance,"ilibre", enfin tout les nouveaux nés l'ont à leur naissance, Torchwood l'a crée pour permettre au jeunes

     citoyens de circuler où bon leur semblent, mais avec certaines conditions, la puce s'active que lorsqu'on est adulte.

   - Une puce, répéta le docteur, ils intègrent des puces aux nouveaux nés, et c'est comme ça que tu es arrivée ici.

     Mais pourquoi ici dans cette dimension là ?

Émeline acquiesça, et lui répondit que sa mère et son père lui parlaient souvent de ce monde là quand elle était petite. Alors elle avait décidé de venir ici quand sa puce s'activerait. Mais qu'elle ne s'attendait pas à le croiser ici.

Le Docteur, les larmes aux yeux, demanda comment se portaient ses parents, Emeline, tira une photo de son sac et la tendit au Docteur, en lui disant qu’elle datait de quelques semaines et qu'il pouvait la garder.

Le Docteur pris la photo, il vit dessus la famille au complet : John, Rose qui était enceinte de quelques mois à voir la photo, Emeline, son petit frère Jack, ainsi que Jackie la mère de Rose, Pete et un jeune homme qui devait surement être Tony le petit frère de Rose, celui que sa mère avait eu avec le Pete du monde où ils vivaient tous, désormais. Il ragarda la photo un long moment puis la rangea dans sa poche de veste.

Émeline, n’y tenant plus demanda au Docteur s’il pouvait l'emmener rien qu'une fois faire un tour.

Le Docteur hésita quelques secondes et accepta. Un grand  sourire aux lèvres :

   - Allons- y !!

 

Émeline, s’installa près du Docteur et le regardait activerle Tardis avec émerveillement. Le Docteur avait décidé d'emmener Émeline sur une planète où elle ne risquait rien, mais qui serait différente de celle où elle vivait. Il décida de l'emmener à "Akzaea" une ville où toutes sortes d'êtres vivaient en harmonie.

Arriver à destination le Docteur invita Émeline à aller découvrir la planète qu'il avait choisit.

  - Bienvenue à Akzaea Émeline Smith !

 

 

 

Toute excité Emeline se dirigeât vers la porte du Tardis, respirant un grand coup pour se calmer et ouvrit la porte. S’attendant à voir une magnifique planète elle fut déçue en voyant une ville presque en ruine, de la cendre recouvrait le sol des maisons qui devaient être splendides et qui étaient maintenant semi-écroulées. Emeline aperçue une chose fouillant parmiles décombres. Elle s'approcha et vit qu'il s'agissait d'une sorte d'animal mélange entre une souris et une loutre mais se tenant debout comme elle qui en entendant Émeline arrivée sursauta.

   - Qui êtes-vous ? demanda la créature d'une toute petite voix.

   - Je m'appelle Émeline Smith et vous ?

   - Rissa, Mademoiselle.

   - Je suis désolé, je vais vous paraître impolie mais qu'êtes-vous?

   - Ce que je suis mademoiselle ? Une " loutrie".

   - Vous êtes une loutrie, c’est la première fois que je rencontre une personne de votre espèce, et la première

     habitante de cette planète, enchantée Rissa.

Émeline tandis la maina Rissa qui la prit avec délicatesse

   - Enchantée mademoiselle Emeline, j’aurais aimé que vous voyiez la beauté de mon village au lieu de ruines. Si ces

     maudits hommes de fer ne s'étaient pas installés ici, vous auriez pu voir ma demeure qui n'est maintenant qu'une

     ruine.

Le Docteur les rejoignit regardant autour de lui.

   - Que s'est-il donc passé ici ?

   - Les hommes de fer se sont installés, répondit Rissa.

   - Vous parlez des Cybermen, mademoiselle ?  demanda le docteur

   - Oui, si c'est le nom que vous leur donnez et je m'appelle Rissa, et vous Monsieur ?

   - Le Docteur, enchanté de vous rencontrer. Depuis quand sont-ils là ? enchaina le docteur.

   - Cela doit faire deux lunes. Nous avons tenté de les arrêter, mais sans succès. Les habitants ont fini par capituler et

     accepter leur présence après qu'ils aient détruit quelques quartiers, pour montrer leur force.

   - "Toujours à vouloir dominer le monde ces Cybermen" dit le docteur tout bas.

   - Vous les connaissez Docteur ? demanda Rissa

   - Oui, se sont de très vieux ennemis, qui reviennent sans cesse.

   - Nous aiderez-vous, à les combattre ? Nous ne connaissons pas leur espèce et vous seul pouvez nous venir en

     aide.

Le Docteur allait répondre quand Émeline le devança en acceptant d'aider Rissa.

Les yeux de Rissa s'illuminèrent et elle les remercia.

Le Docteur allait protester mais Émeline le rassura en lui disant qu'elle serait très prudente et qu'on ne pouvait pas laisser ces pauvres habitants aux mains des Cybermen.

Rissa s'était remise à fouiller dans les décombres de sa maison, à la recherche d'objets et de vêtements récupérables qu'elle entassait dans sa petite carriole.

  - Ce qui m'étonne, s'enquit le Docteur, c'est que d'habitude les Cybermen vont sur une planète peuplée d'êtres

    humains pour pouvoir les convertir et ici à ce que je sache il n'y pas d'êtres humains.

 

Rissa après avoir récupéré ses objets invita Émeline et le Docteur dans son refuge.

Le Docteur proposa a Rissa de tiré sa carriole, celle-ci accepta avec joie.

Arrivé dans sa petite maison, Rissa tout en rangeant, expliquait à Émeline et au Docteur que les Cybermen construisaient une sorte d 'usine. Qu'ils avaient emmené tous les hommes valides pour bâtir l'usine. Le mari de Rissa avait été emmené et elle ne l'avait pas revu depuis, des larmes perlèrent aux yeux de Rissa.

Se ressaisissant, elle prit un grand goulet d'air et proposa à ses invités une part de tarte, qu’ils acceptèrent avec joie. La discussion partit sur l'usine et les hommes de fer. Le Docteur appris que les Cybermen avaient l'intention de ramener des êtres humains d'une planète proche pour les convertir, via une passerelle temporelle.

Le Docteur voulait agir pour empêcher tout cela avant que ça ne commence. Il demanda à Rissa de l'emmener près de l'usine le lendemain.

Après une nuit passée chez Rissa, le Docteur et Émeline se mirent en route, le Docteur avait prestement demandé à Émeline d'être prudente. Ils mirent tout les trois une clef de Tardis autour du cou pour ne pas être repérés par les Cybermen qui auraient de suite essayé de convertir Émeline et lui-même. Même si Rissa ne risquait rien mais pour ne pas paraître suspecte enparlant toute seule il lui en avait remise une. Elle fut fascinée par le fait qu'on ne puisse la voir.

Les trois compagnons entrèrent dans l'usine par une porte que le Docteur ouvrit avec son tournevis sonique. Une fois à l'intérieur ils se firent encore plus prudents.

Rissa jetait des coups d'œil d'inquiétude. Émeline, elle, était excitée et en même temps effrayée car ses parents lui avait parlé des Cybermen. Le Docteur quand à lui paraissait impassible. Déambulant dans l'usine Émeline et le Docteur ne virent pas que Rissa ne les suivait plus.

   - Où est Rissa, s'enquit Emeline.

Le Docteur intima à Émeline de s'arrêter.

   - C'est bien ce que je pensai.

   - Quoi Docteur ?

   - Son but était de nous amener ici.

   - Mais pourquoi ?

   - Réfléchissez Émeline, si une personne que vous aimez est prisonnière, ne feriez-vous pas tout ce qui est en votre

     pouvoir pour la sauver.

   - Oh, alors Rissa nous à conduit ici pour que les Cybermen nous capturent et nous convertissent, afin que son

      mari soit libéré. Mais Docteur ils ne le feront pas, les Cybermen n'ont pas de compassion.

   - Tout à fait mais ça Rissa ne le sait pas, tout ce qu'elle voit en nous, c’est la clé de sortie de son mari.

   - Que va-t-on faire alors, elle à une clé du Tardis et peut la donner aux Cybermen !

   - Cette Clé ne leur sera d'aucune utilité.

   - Vous lui en avez donné une fausse, pour qu'elle soit en confiance, mais pourquoi ne pas  l'avoir arrêtée avant ?

   - Réfléchissez Emeline, elles sont toutes fausses.

   - Vous vouliez entrer dans cette usine depuis le début, vous saviez ce qu'il se passait sur cette planète. Mais

      pourquoi m'avoir emmenée ?

   - Evidemment que je voulais entrer et, vous, simplement parce que vous étiez là, et vous paraissiez si émerveillée,

     que j'ai décidé de vous embarquer avec moi.

Le Docteur sourit et intima à Émeline de faire silence, elle s'exécuta aussitôt. Rissa apparue devant tout essoufflée, un Cybermen derrière elle portant la clé autour du cou.

   - Rissa où étiez-vous passée ? demanda Émeline

   - Je....je....je me suis perdue, j’ai cru entendre mon mari, alors je suis partie voir.

   - Mais pourquoi ne pas nous avoir prévenus.

   - Parce que....

   - Bon ça suffit la petite comédie !

   - Petite comédie ? Je ne comprends pas Docteur, de quoi parlez-vous ??

   - Je crois qu'il parle du Cybermen qui se trouve un peu plus loin derrière vous Rissa.

   - Un Cybermen derrière moi demoiselle Emeline ? Il n'y a pas de Cybermen derrière moi.

   - Ah bon alors qui c'est lui ? le Docteur pointant son tournevis sonique derrière elle.

   - EFFACER!!!!! EFFACER!!!!

   - Pardonnez-moi Docteur.

Le Cybermen s'avança vers le trio les mains en avant.

 

Le Docteur pris la main d'Émeline et de Rissa, qui restait figée, et se mis à courir, entraînant les deux femmes dans son sillon.

Le Docteur mit fin à la course dans un petit couloir désert, les trois compagnons reprirent leur souffle.

Le Docteur tendit deux colliers où une clé pendait.

Émeline la pris et la porta autour de son cou, Rissa, elle, hésita, mais le Docteur lui mis autour du cou.

   - Je suis désolée, gémit Rissa.

   - Oui, ça vous l'avez déjà dit, mais cela ne change rien à la situation, des Cybermen sont toujours à nos trousses.

   - Émeline ne soyez pas si sévère avec elle, vous auriez fait la même chose si une personne que vous aimiez était

      prisonnière.

Rissa était recroquevillée pleurant en silence, Emeline s'approcha d'elle et la pris dans ses bras.

   - Pardonnez-moi de mettre emportée Rissa.

   - Non c'est moi demoiselle Émeline qui vous ait mise dans cette situation, je comprends votre colère.

   - Je ne suis pas en colère juste un peu effrayée.

Les trois compagnons échafaudèrent un plan, pour vaincre les Cybermen et libérer les prisonniers.

Rissa insista pour attirer les Cybermen dans le piège que le Docteur commençait à fabriquer.

Elle ôtat la clé de son cou et la tendit à Emeline.

   - Faite attention à vous.

   - J'essayerai demoiselle Emeline, mais je dois bien prendre un peu de risque pour me faire pardonner.

Elle partit donc à la rencontre des Cybermen, des pas résonnèrent dans le couloir plusieurs minutes après.

   - Comme je vous l'ais dit, j’ai pu attrapé la femme, elle setrouve là, elle à toute confiance en moi, elle pense que je

      suis partie chercher l'homme qui s'est égaré.

   - Bien petite créature, tu seras récompensée, pour cela, fit la voix robotique.

   - Vous allez bientôt libérer Ruosso?

   - Bien sûr, c’est ce qu'on avait convenu, mais pour le moment occupons-nous de cette femme.

Le Cybermen et Rissa s'approchèrent d'Emeline, quand ils furent assez près le Docteur ôta sa clé et, comme surgit de nulle part, pointa son tournevis sonique sur le Cybermen qui fut déconnecté. Il ne fallait pas se réjouir trop vite d'autres Cybermen erraient dans l'usine.

 

Le Docteur proposa à ses deux compagnes d'aller voir où pouvais bien se trouver les cellules des prisonniers, ils remirent leurs clé et partirent à la recherche des fameuses cellules.

Ils les trouvèrent au détour d'un couloir, une pièce avec des cellules, mais celle-ci paraissait bien silencieuse. Rissa se précipita dans la pièce à la recherche de Ruosso son mari, mais quand elle regarda dans les cellules il n'y avait que des corps sans vie.

   - Non pas lui, murmura-t-elle.

Elle s'arrêta devant la dernière cellule, ouvrit la grille, pénétra à l'intérieur et gémit en tenant le corps de Ruosso. Le Docteur et Emeline s'approchèrent doucement laissant Rissa faire ses adieux. Au bout de longues minutes elle demanda :

   - Docteur laissez-moi détruire ces monstres, dites moi quoi et comment faire.

   - C'est une tâche difficile, vous risquez d'y perdre la vie.

   - Peu importe, je n'ais plus de raison de vivre, pas sans Ruosso

   - Mais vous pouvez continuer à vivre, intervint Émeline

   - Les Loutries ne vivent que pour leur partenaire, si l'un deux disparait l'autre se laissera dépérir, lui répondit le

     Docteur.

   - Mais... on, je ne veux pas, sanglota Émeline.

Rissa se redressa sur ses petites jambes, prête à affronter les Cybermen à elle toute seule. Les trois compagnons s'étreignirent longuement comme si ils n'allaient plus se revoir.

Rissa fonça vers la salle de téléportation des Cybermen et détruisit leur système à l'aide de l'appareil fabriqué par le Docteur qui permettait de rendre inutilisable leur téléportation. En faisant cela elle savait que les Cybermen s’en prendraient à elle mais peu importe elle n'avait plus rien à perdre.

   - INTRUS !!!! Éliminer, éliminer ! Dirigez-vous tous vers la zone du téléporteur !!

 

Une vingtaine de Cybermen se dirigèrent vers Rissa qui avait le sourire aux lèvres, les attendant impassiblement. Dans sa main un petit objet, dont elle actionna le bouton. Les Cybermen comprenant ce qu'elle tenait à la main essayèrent de se téléporter sans succès. Une explosion, et tous furent réduit en poussières.

Adieu demoiselle Émeline et son Docteur furent les dernières paroles de la Loutrie.

 

Émeline se réveilla en sursaut dans sont lit poussant un cri et se mettant à sangloter.

La lumière dans sa chambre s'alluma et les parents de la fillette qui n'avait qu'une dizaine d'années, s’approchèrent de leur fille lui demandant ce qu'il lui arrivait.

La petite fille raconta à son père et sa mère son rêve, devenu cauchemar, des Cybermen, de Loutrie, du Docteur et de son amie Rissa.

John et Rose se regardèrent, leur fille avait-elle fait un rêve prémonitoire, seul l'avenir le dirais. Ils étreignirent leur fille essayant de calmer ses sanglots.

 

 

                     LOUVE NOIRE       

 

 

 

   

 

 

Commentaires

Louve noire le 30-03-2011 à 22:45:01
Merci pour le com/foutu Torchwood lol,La fin je l'aie eu avant le début.
GunnerEradiqueur le 30-03-2011 à 22:23:49
Fascinant ce récit,ça colle tout à fait aux principes de la série,pourtant certains passages ne conviennent pas!Celui ou Emeline dit au docteur que le Torchwood a donné à la population la possibilitée de se déplacer dans les autres univers.Seulement dans un des épisodes de la série,le docteur avertis que de déplacer de monde en monde cela provoque des fissures dans l'espace temps!Ton idée avec Emeline n'est donc pas approprié.Sur ces paroles le docteur sauterait de fureur sur place,en maudissant ce fichu Torchwood!Ensuite ton introduction s'allonge trop entre le docteur et Emeline,dix lignes auraient été suffisante pour leur présentation.Pour la suite c'est correct la présentation de Rissa est succinte rien à redire,la tentative de libération de son compagnon est pas mal,ça aurait été bien de s'attarder un peu dans la base des cybermen!La fin est étrange,enfin on est dans doctor who après tout!Avec ton texte le vote sera difficile Louve noire!
Louve noire le 08-02-2011 à 20:03:35
Merci^^smiley_id239899
BBBnocta le 07-02-2011 à 20:25:07
L'histoire en elle même et bien, mais il y a pas mal d'erreurs d'erreur de ponctuation, notamment des espaces en moins, qui 'abime' un peu la lecture.

Sinon, c'est très original.